Penguin Random House maintient sa position face à la nouvelle plainte en diffamation déposée par Donald Trump, réclamant 15 milliards de dollars contre la maison d’édition, le New York Times et quatre journalistes du quotidien. En cause : le livre Lucky Loser (Le Perdant Chanceux), publié par Penguin Press et coécrit par deux des reporters visés, ainsi que plusieurs articles accusés de nuire à la réputation professionnelle, personnelle et politique de l’ancien président, au cœur de la période électorale.
Selon le New York Times, cette seconde plainte accuse les médias d’avoir volontairement compromis la candidature de Trump à la présidentielle de 2024, orchestrant une campagne pour affaiblir son image publique. L’ouvrage, présenté comme une enquête sur ses revers politiques, est cité parmi les éléments supposés viser à ternir sa réputation.
Penguin Random House rejette fermement ces accusations, estimant que la plainte demeure sans fondement. L’éditeur réaffirme son soutien aux auteurs et à leur œuvre, tout en défendant les principes essentiels garantis par le Premier Amendement (First Amendment) de la Constitution des États-Unis, qui protège la liberté d’expression et de la presse.



